18 octobre 2019 : Thanks 2
Avec Théo Vignault, embarquement immédiat pour notre navette poético-spatiale
Juillet : la banane de l’été…
Nous jouons à guichets fermés au Vésinet…
Février, Mars, Avril etc. 2019
Non, encore elle ? « Mon Isménie ! » revient…
A l’affiche de la Comédie Saint Michel du 16 mars 2019 à fin juillet pour une quarantaine de représentations.
Novembre et décembre 2018
Reprise de « Mon Isménie » d’Eugène Labiche au théâtre La croisée des Chemins.
Août 2018
Résidence artistique en Corse autour du Rite-Théâtre. Un mois consacré au Bal du Mariage… Des photos signées Théo Vignault. Une expo mêlant ses photos et mes textes, intitulée « Thanks 2 », est en cours d’élaboration.
Juin / Juillet 2018
Avant gôut, avant première : Mon Isménie en répétition au jardin de la découverte…
A partir du 30 juin, le samedi à 20h30 et le dimanche à 17 h au jardin de la Découverte, théâtre de plein air, au Vésinet Centre…
Février 2018
7 for a secret ? A duet with Saint Huître !
Janvier 2018
Un père atrocement possessif ; sa fille, Isménie, cherchant désespérant à se marier ; une vieille tante qui la défend becs et ongles ; un prétendant se jouant de tous les pièges paternels ; une bonne polissonne derrière ses allures de vierge… « Mon Isménie » réunit tous les ressorts d’un Labiche vigoureux. Mais comme la mise en scène est signée Pierre-Sébastien Kunstzmann, les codes habituels du théâtre de boulevard sont mis à mal… pour le plus grand plaisir des spectateurs ! Chant, danse, suspension poétique et burlesque sont une fois de plus au rendez-vous. Je joue le rôle de Galathée, la vieille tante. Première représentation prévue en juin.
Novembre et décembre 2017
Après une version en extérieur, dans un jardin-théâtre, découvrez la mise en scène toute en intimité de Pierre-Sébastien Kuntzmann au théâtre de la Croisée des Chemins. Tous les dimanches à 17 h 30 du 5 novembre au 17 décembre.
La bande annonce, c’est ici :
http://www.billetreduc.com/193580/evt.htm
et les réservations, aussi !
Juillet et Août 2017
Avril 2017
Dans le cadre du Festival off de la Photo, exposition Walk_Through du 4 au 18 avril, Galerie AAB, dans le XXème : des photos tirées de mon dernier livre et signées Anne Gée.
Février 2017
Répétitions, filage, premiers auditeurs, premières auditions. L’Embarcadère porte bien son nom !
Janvier 2017
Embarquement pour l’Embarcadère…
Extrait de la note d’intention de Pierre-Sébastien Kunztmann, metteur en scène : un spectacle articulé autour de mon texte paru aux éditions ArtistFolio. Plaisir de la création à 4 mains. Joie des répétitions qui s’enchaînent. L’Embarquement est prévu au printemps…
« Le plateau de théâtre EST embarcadère. A chaque représentation, à chaque fois que s’y jouent des corps et des voix, à chaque tableau, chaque seconde. Car chaque geste, chaque regard, est agissant, emmenant le spectateur vers son propre ailleurs, le touchant, le transformant peut-être. La scénographie transpose l’interprétation anagogique du texte de Virginie Durand qui demeure l’élément central du spectacle. Au commencement est cet espace vide, instable mais familier que les personnages découvrent et explorent peu à peu. Peu ou pas de repère : où est donc l’arrivée et le départ de cet embarcadère ?
Mais à l’instar d’un radeau (à l’image aussi du théâtre qui transporte et fait voyager dans l’immobilité), L’Embarcadère devient ce lieu – imaginaire, certes – mais par lequel le public embarque puis accoste.
La mise en scène offre des temps au silence pour donner à entendre aux spectateurs leurs propres voix intérieures et les ouvrir à leurs ressentis et à leur imaginaire. Un seul regard, la précision d’un seul geste, peuvent alors ouvrir mille portes.
La beauté des textes, mélodieusement interprétés ; une dynamique de jeu rythmée par des passages proches du burlesque ; un parfum d’ironie et un brin de folie joyeuse : tous alors, nous pouvons laisser derrière nous notre passé tourmenté et ressortir enrichis de cette nouvelle expérience. Régénérés, bouleversés, changés… »
La compagnie Amaranthus profite d’une lecture à la bibliothèque du Vésinet pour se rôder… Ici, Claire Garoche et Pierre-Sébastien Kuntzmann.
Décembre 2016
Soirée « Silence au CoeuR (mais avec un peu de bruit autour) »
Dédicace de mon dernier livre – 9 décembre Galerie Kitty Carton
Séance de dédicace
9 décembre 2016, Espace Kitty Carton,
47 rue de la Villette, 75019 – de 18 h 30 à 00 h 00′ 00 »
Métro Pyrénées, ligne 11
A découvrir au passage…
Novembre 2016
Silences au CoeuR (mais avec un peu de bruit autour)
Lancement d’une ligne de luminaires ! Ben oui, c’est comme ça et c’était pas franchement prévu. Des modèles uniques et signés. Sur les photos d’Anne Gée, se révèle le texte. A découvrir lors de ma prochaine séance de dédicace prévue, à partir de 19 heures…
9 décembre 2016, Espace Kitty Carton,
47 rue de la Villette, 75019.
Métro Pyrénées, ligne 11.
Octobre 2016
Exhibition
…où il serait question de monter une exposition
…où il serait question de créer des lunettes à changer le regard sur le monde en plexi et en carton
…où il serait question de séances de dédicaces à la galerie Kitty Carton
…où il serait question, le 14 octobre, de partager un moment délicieux au sein du cercle littéraire « Le petit Parnasse », 25 ans d’existence déjà, que du beau, que du bon !
Septembre 2016
Silences, ça tourne !
Rentrée tout en douceur pour « Silences, oser la Suspension faire l’Amour », le petit dernier. On tâte le papier, on maquette, on BAT. Pendant ce temps, « 44 maximes etc. » essaime. 450 exemplaires envoyés. Quant à « L’Embarcadère », il porte bien son nom : mais au fait, où va-t-on ?
Août 2016
Germination
Après avoir rencontré Pierre-Sébastien Kuntzmann, metteur en scène, au printemps dernier, l’été se prête à tous les scénarios de collaboration possibles. Les textes de « L’Embarcadère » lui paraissent une bonne base de départ. Mais pourquoi pas non plus, reprise de sa dernière pièce ? Et si on ajoutait des percussions chamaniques ? Un performeur hip hop ? Un costume de plante extra terrestre ? On l’aura compris… vivement Septembre !
Juillet 2016
Manifeste pour la poésie en ce dernier siècle
« La poésie du XXIème siècle est simple.
Bien sûr, elle peut paraître lointaine.
Mais si elle nous paraît lointaine, c’est qu’elle est sacrée.
Et qu’elle nous fait peur.
Si nous la connaissions mieux, nous saurions qu’elle est perdue.
Perdue comme nous, désespérée comme nous.
C’est une passionnée, c’est pour ça.
Elle se tient nue. Elle aime.
Elle le dit.
Le déclame de toute sa force. De toute sa clarté.
Et la voici qui guérit.
Et la voici qui se tait. »
Extrait de Comment j’ai trucidé Man Ray (mais transformé Louise Labbé en surréaliste)